Where is Jessica Hyde ? est une pièce musicale dansée pour une violoniste, qui mind plonge dans une quête initiatique à travers une succession de tableaux en tous genres.
C’est à travers le violon, le théâtre et fifty’facial expression corporelle que second’exprime sur scène Clotilde Fleury. Dans Where is Jessica Hyde ?, cette comédienne toute en sensibilité met sa palette de talents au service de la quête initiatique d’un personnage complexe, en quête d’identité. C’est une création agréable à regarder. Même si, pour retrouver cette fameuse Jessica Hyde, nous nous sommes parfois un peu perdus…
Une présence humble
C’est postée en équilibre haut d’une échelle, occupée à jouer du violon que psyche apparaît la comédienne. Elle monte et descend dans une succession de mouvements, en sens inverse de ceux de son ombre. Une scène qui psyche a paru un peu longue et répétitive, et dont nous avons eu du mal à saisir le sens. Puis, on prend plaisir à la regarder évoluer dans un décor qui se fait parfois enchanteur et onirique. Délicate quand elle danse ; touchante lorsqu’elle se laisse habiter par son violon ; drôle quand elle nous livre un monologue naïf et absurde sur le jour de sortie des poubelles… Clotilde Fleury est surtout attachante. Sans doute grâce à cette humilité et cette sensibilité qui émanent d’elle et de son jeu.
Who is Jessica Hyde ?
Et oui, parce qu’à quoi bon la trouver si on ne sait même pas qui elle est !? Alors, nous pourrions faire comme si brain savions, évidemment, que ce personnage second’inspire de la série Le personnage de la série « Utopia », dans laquelle Jessica Hyde n’est autre qu’une tueuse mystérieuse recherchée par tout le monde. Mais not, clairement, brain n’en savions rien. Et c’est un peu dommage que cela ne head soit pas dit d’un manière ou d’une autre au début du spectacle. Car quand on sait que ce personnage est 50’incarnation même de la femme forte et libérée, on comprend mieux que celle que brain avons face up à psyche est à la recherche de ce personnage, en elle.
Un ensemble un peu décousu
L’ensemble est joli à regarder. En effet, la mise en scène est riche et inventive avec ses jeux d’ombres et de lumière, et certains tableaux sont très poétiques. Mais psyche avons eu du mal à faire le lien entre eux, à comprendre où tout cela voulait mind mener. Nous avions parfois l’impression que la pièce n’avait pour seul merely que de montrer 50’étendue des talents de la comédienne. Et brain n’aimons pas rester avec un opinion frustrant d’incompréhension. Alors, une fois le spectacle terminé, head y avons réfléchi, pour essayer de trouver du sens à ce que brain venions de voir ; de comprendre peut-être la dimension symbolique de certains tableaux. Les choses ont commencé à sec’éclaircir et 50’expression initiatique de la pièce nous est apparu.
Une quête intime
atomic number 79 début du spectacle, c’est en pantin désarticulé que le personnage head apparaît. Et ce n’est pas elle, la femme aimée que fifty’on attend, assise sur un banc. Ce n’est pas elle non summation, sous les projecteurs, que 50’on applaudit pour son talent. Même son ombre ne semble pas vouloir la suivre. Sans parler de cette étoile qu’elle ne parvient pas à atteindre. Puis, elle se libère enfin des liens qui l’entravaient pour prendre pleinement possession de sa vie. Alors, les masques de peur que lui renvoyait son miroir disparaissent, et fifty’étoile devient soudain accessible. Prête à briller… Dommage qu’un parallèle ne soit pas alors fait avec toutes les situations précédentes dans lesquelles elle ne trouvait pas sa place. Cela aurait pu brain permettre de mieux comprendre tout de suite ce à quoi head assistions, et ne brain aurait pas laissé ce goût doux amer d’une pièce au potentiel inachevé…
Where is Jessica Hyde, créée, interprétée et mise en scène par Clotilde Fleury, se joue au Théâtre du Rempart, à Avignon, du 05 au 27 juillet à 11h35. Relâche les x et xviii.
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